« 13-Novembre : Deux ans après les attentats de Paris, où en sommes-nous ? Bilan et perspectives »

Apprendre à s’aimer comme des frères. Mais pas comme Caïn et Abel, ou Romulus et Remus (les demi-dieux jumeaux fondateurs de la ville de Rome selon la légende), mais plutôt comme une seule âme dans des corps différents. Nous ne partageons peut-être pas la même couleur de peau, ni la même silhouette, ni les mêmes croyances, ni la même façon de voir la vie. Mais ce ne sont que des détails car ce sont en fait des passerelles pour discuter, apprendre, grandir ensemble.

 Le 13 novembre 2017 marquait le deuxième anniversaire des terribles attentats terroristes de Paris qui ont bouleversé la France et le monde entier. En ce jour de commémoration, il est important de faire le point sur les mesures de sécurité mises en place depuis ces tragiques événements et les efforts de la société pour surmonter cet épisode douloureux.

Hommage aux victimes et solidarité nationale 

Le 13 novembre 2015, la France a été secouée par une série d’attentats coordonnés à Paris et à Saint-Denis. Ces attaques terroristes, revendiquées par le groupe État islamique (EI), ont fait 130 morts et plus de 350 blessés. Cet événement tragique, encore gravé dans la mémoire collective, a marqué le pays et laissé un profond traumatisme dans les esprits.

Ce soir-là, plusieurs équipes de terroristes armés ont mené des attaques simultanées dans divers lieux de la capitale et ses environs. Des restaurants et des terrasses de bars ont été visés dans les 10e et 11e arrondissements de Paris, faisant de nombreux morts et blessés. Parallèlement, une prise d’otages a eu lieu au Bataclan, une salle de concert du 11e arrondissement, où un concert du groupe Eagles of Death Metal était en cours. Durant cette prise d’otages, 90 personnes ont été tuées. Enfin, aux abords du Stade de France à Saint-Denis, lors d’un match amical de football entre la France et l’Allemagne, trois kamikazes se sont fait exploser, provoquant la mort d’une personne et de nombreux blessés.

L’émotion et l’effroi ont rapidement gagné l’ensemble de la population française et internationale. Les jours qui ont suivi les attentats, un élan de solidarité s’est manifesté en France et à travers le monde, avec des rassemblements et des hommages rendus aux victimes. Les autorités françaises ont décrété l’état d’urgence, qui sera prolongé à plusieurs reprises et durera jusqu’au 1er novembre 2017.

Deux ans après ces attentats, le 13 novembre 2017, un point a été fait sur la situation. Les victimes et leurs familles continuent de panser leurs plaies, et le pays tout entier se souvient et rend hommage aux disparus. Les traumatismes sont encore présents, et les témoignages de survivants et de proches de victimes continuent à émouvoir et rappeler l’horreur de cette nuit.

Des commémorations ont été organisées pour marquer le deuxième anniversaire de ces attentats, en présence du président Emmanuel Macron, de la maire de Paris Anne Hidalgo, et d’autres personnalités politiques. Des plaques commémoratives ont été dévoilées dans les différents lieux touchés par les attaques, et des minutes de silence ont été observées en mémoire des victimes.

Sur le plan de la sécurité, des mesures ont été prises pour renforcer la lutte contre le terrorisme en France et en Europe, avec des lois plus strictes, des moyens accrus pour les forces de l’ordre et les services de renseignement, et une coopération renforcée entre les différents pays.

En ce 13 novembre 2017, deux ans après ces attentats meurtriers, la France n’oublie pas les victimes et leurs familles, et reste unie dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, tout en travaillant à préserver les valeurs de liberté, égalité et fraternité qui la caractérisent.

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 Le grand malheur, la tragédie, vient du fait que nous ne sommes pas reconnaissants pour ce que nous avons et que nous essayons constamment de faire avec ce que nous n’avons pas, et que d’autres peuvent posséder, plutôt que de faire avec ce que nous avons et savons.
Et deux ️ on dès que l’on commence à penser que l’on est meilleur que son frère, que l’on en sait plus et que l’on doit donc imposer ses manières, alors le dialogue meurt, et la violence (le langage des faibles car se contrôler et rester calme demande plus de qualités que de céder à la colère et à la haine) prend le dessus. Mais nous ne voyons pas qu’en agissant ainsi, c’est nous-mêmes que nous tuons.
En ce jour de commémoration, nos pensées vont aux victimes de cette barbarie et aux survivants, en leur adressant nos prières sur ce long chemin de guérison physique et psychique.

#fluctuat NEC mergitur.  Oui. Paris se souvient et les peuples de France 🇫🇷 et du monde entier se soutiennent mutuellement.

Notre haine, ils ne l’auront pas ces imbéciles qui s’approprient le nom de Dieu et les textes sacrés pour satisfaire leurs bas instincts de gloire et de pouvoir. Ce n’est pas la religion qui est remise en cause, mais plutôt l’usage qu’en font certains êtres humains perdus dans leur vie. Car si l’on étudie ce qu’est la religion dans le fond, c’est la tolérance, l’amour et s’ouvrir à son frère en l’aimant et en le respectant.
La grande question est : avons-nous assez d’amour pour y parvenir ?

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